Historique de notre association

1926 : Naissance de l’Association

Au lendemain de la Première Guerre Mondiale, dans notre Moselle encore profondément bouleversée par de terribles années, l’Ecole Normale de Montigny cherchait à se retrouver. C’est Edmond KLEIN, de la promotion 1919-1922, alors jeune enseignant dynamique et tenace, qui songea, avec quelques camarades des promotions voisines, à rassembler les anciens élèves de l’école normale en un groupement fraternel.
Déjà, dans une lettre du 15 décembre 1925, les délégués des cinq dernières promotions déclarent :
« Vous n’ignorez certainement pas que, depuis un certain nombre d’années déjà, les jeunes instituteurs nommés après l’armistice se préoccupent de l’idée de fonder une Association des Anciens Elèves de l’Ecole Normale d’Instituteurs de Montigny-lès-Metz. Jusqu’à présent, les promotions sorties depuis le 1er octobre 1920, date de la réouverture officielle de l’Ecole Normale de Metz, se sont bornées à désigner un des leurs pour s’occuper provisoirement de cette question et pour tenir les camarades au courant de l’évolution de ces projets. »
« Pensant que ces cinq promotions suffisent pour former le noyau de la jeune Association, nous venons de mettre sur pied un essai de statuts pouvant servir de point de départ pour l’élaboration des statuts définitifs. Mais nous ne saurions mener à bonne fin la tâche qui nous est dévolue, sans votre appui et votre conseil. Nous avons donc l’honneur de vous faire connaître nos intentions en joignant à la présente un exemplaire des statuts que nous soumettons à votre bienveillant examen. »
Dans sa réponse, M. SCHERER, directeur de l’école normale, écrit :
« J’ai été très heureux de recevoir votre lettre qui m’a confirmé votre intention de grouper vos camarades à Montigny et de fonder une « Association des Anciens Elèves de l’Ecole Normale . Je suis persuadé que c’est là une oeuvre excellente à tout point de vue et j’en félicite très vivement les promoteurs. »
Et M. RENAULT, directeur de l’Instruction Publique, répond :
« L’école autour de laquelle il est le plus nécessaire que les anciens élèves restent groupés, c’est l’école normale, celle qui forme les instituteurs, parce que les instituteurs sont chargés d’allumer et d’entretenir chez tous les enfants du peuple la flamme de l’idéal, et qu’ils ne pourront y réussir qu’à la condition d’entretenir en eux-mêmes le feu sacré, en se réunissant souvent autour du foyer qui les a éclairés et réchauffés pendant leur jeunesse, à l’école normale, où leur a été révélée l’âme de la patrie. »
Ces premiers jalons étant posés, la réunion constitutive « de la fondation » pouvait se tenir le 15 avril 1926.
Elle fut relatée dans la presse par le communiqué suivant :
Les jeunes instituteurs mosellans ayant quitté l’école normale après le 1er octobre 1920, date de sa réouverture officielle, se sont retrouvés jeudi dernier dans la Salle des Fêtes, en vue de fonder une

« Association des Anciens Elèves de l’Ecole Normale d’Instituteurs de Montigny-lès-Metz ».

Après les paroles de cordiale bienvenue prononcées par M. SCHERER, directeur de l’école normale, on passa à la discussion des statuts et à la constitution du Bureau. A la presque unanimité, les anciens normaliens choisirent parmi eux comme :
Président : M. KLEIN Edmond, instituteur au C.C. de Hayange ; vice-présidents : M. GRASSER Charles, instituteur à Fontoy, M. MAYEUR Gaston, instituteur à l’E.P.S. de Phalsbourg ; secrétaire : M. SCHONT Lucien, instituteur à Vernéville ; trésorier : M. DELLINGER Marcel, en stage à l’E.P.S. d’Orléans.
Le but de cette amicale fut clairement défini dans le petit résumé des statuts que nos fidèles anciens connaissent bien « Maintenir et resserrer entre ses membres les liens de camaraderie formés à l’école normale : développer et fortifier l’esprit de solidarité entre les différentes promotions ; continuer et achever l’oeuvre de l’école normale française ; encourager les élèves maîtres dans leurs études. » Par ces quelques phrases simples et sobres, l’élan était donné, le projet prenait vie, Edmond KLEIN et son équipe avaient mis le meilleur d’eux-mêmes au service de notre Association qui s’est maintenue, contre vents et marées, bien vivante jusqu’à nos jours. Leurs successeurs n’ont pas eu à s’écarter d’une voie qui leur était si bien tracée.
Le premier Banquet annuel de l’Association se tint le 29 juillet 1926, sous la présidence d’honneur de M. RENAULT, directeur de l’Instruction Publique. A l’heure des toasts, M. KLEIN Edmond, le si sympathique président de la jeune Association, rendit compte, en termes bien choisis, de la vie de l’Association depuis sa fondation et exposa les projets d’avenir particulièrement ambitieux : « Une fois par mois, nous nous retrouverions pour une journée bien profitable : culture intellectuelle le matin, entraînement physique l’après-midi, plaisir le soir. Je soumets ce projet à votre réflexion et vous promets qu’avec votre bonne volonté notre Association pourrait bien faire les choses. »
Dès 1927, deux annexes aux statuts précisent la notion de solidarité à développer au sein de l’Association :
 Venir en aide aux membres victimes du sort ou de la maladie.
 Encourager les élèves-maîtres dans leurs études en leur décernant chaque année trois prix en espèces.
Lors de l’Assemblée du 21 juillet 1927, M. SCHERER constate :
« Fidèlement à vos statuts, je vois se développer et se fortifier entre vous des liens de solidarité et de bonne camaraderie. Je ne saurais trop vous féliciter d’avoir compris que les instituteurs d’un même département et issus de la même école normale devaient être unis fortement et par des liens non pas seulement faits d’une communauté d’intérêts et de revendications, mais faits aussi et surtout d’une communauté d’idéal, de sentiments et de sincère confraternité. »
Une nouvelle étape devait être franchi en 1929 : la publication du bulletin trimestriel « l’Ancien ».
D’un article intitulé" Réflexions d’un philosophe au berceau de « l’Ancien » ", extrayons les lignes suivantes :
« Voici une nouvelle naissance : nous avons désormais mieux qu’un seul banquet annuel auquel tout le monde ne peut pas assister : « l’Ancien », ce porte-parole qui pénètre partout, même jusque dans les recoins perdus du terroir lorrain, jusque dans le bled, aux confins de la montagne. Pour ceux qui sont constamment enveloppés de solitude et d’oubli, qui se morfondent d’isolement et de l’indifférence de quelques collègues, ce n’est pas un banal imprimé, une petite revue quelconque qu’on traite négligemment et livre, aussitôt reçue, au feu. Elle exhale de l’amitié et plus encore : des souvenirs ! »
Dès ses origines, l’Association connut une croissance rapide. Les anciens adhèrent par promotions entières. De 72 membres en 1926, on passe à 373 en 1935. En vue de permettre un rajeunissement des cadres et d’insuffler une vie nouvelle à l’Association, le Bureau sortant décide de ne plus poser sa candidature aux élections prévues le 15 avril 1935.

1935 : M. KORNBRUST Albert (promotion 1926-1929) devient président.

Voici donc l’avenir de l’Association confié à de nouveaux éléments, peut-être maladroits encore, mais non dépourvus de volonté et d’espoir. Sous l’impulsion du nouveau Bureau, les effectifs de l’Association ne tardent pas à passer de 373 en 1935 à 512 en 1938. Chaque année, un nombre croissant d’anciens participe au banquet, toujours présidé par M. le Préfet et M. l’Inspecteur d’Académie. Les promotions jubilaires sont chaque fois invitées à collaborer à la partie attractive qui termine le repas. MM. les Inspecteurs primaires (MM. Muller et Forceville, en particulier) ne coupent pas aux exigences de l’auditoire, le premier faisant entonner « les Montagnards ", alors que le second fait reprendre en choeur « le temps des cerises. »
Une réalisation d’importance est à l’actif de cette nouvelle équipe. En effet, c’est le 3 juillet 1937 que l’Assemblée adopte à l’unanimité le projet d’apposer une plaque commémorative en souvenir des camarades morts pendant la guerre 1914-1918. Une souscription est lancée parmi tous les instituteurs de la Moselle. Les anciens se réunissent les jeudis pour former une chorale en commun avec les élèves de l’Ecole Normale d’Institutrices, sous la direction de M. LOUIS, professeur à l’école normale. Lors de l’inauguration fixée au 4 décembre 1938, cette chorale interprétera les choeurs suivants :
 Ceux qui, pieusement, sont morts pour la Patrie (paroles de V. Hugo, musique de François Bazin).
 Apothéose (hymne sur le thème de la Symphonie Funèbre et Triomphale d’Hector Berlioz).
M. TERRACHER, recteur de l’Académie de Strasbourg, présidait la cérémonie. Au cours de son discours, le Président KORNBRUST déclara notamment :
« Le sang de nos malheureux collègues auxquels nous pensons aujourd’hui nous a rendu la Paix : notre enseignement de tous les jours doit nous la garder. Si nous travaillons tous pour cet idéal, nous pourrons dire que la leçon de nos Morts n’aura pas été sans fruits. »
Qui eut dit que quelques mois plus tard un nouveau conflit mondial éclaterait, plus terrible et plus sanglant encore que le premier ? Peu de temps après le Banquet de juillet 1939, la guerre éclate. Le Bureau entier est mobilisé et, en février 1940, grâce à Lucien SCHONT, le premier numéro de guerre de « l’Ancien » s’en va retrouver tous ses amis aux armées.
20 novembre 1940 : C’est le début de l’exil. Alors qu’on ne s’y attendait plus, d’une petite ville de Bourgogne, de Cluny, s’envolent les feuilles polycopiées de notre pauvre bulletin de l’exil. Grâce à un don de M. SCHERER, les premiers envois sont postés, malheureusement limités à la zone libre. Ainsi, Kornbrust conçut, réalisa et diffusa, à la barbe de l’occupant, ce périodique clandestin « l’Ancien » de l’exil, si modeste par la présentation, mais si riche de nouvelles et d’espoir. A la même époque, alors que le ravitaillement se faisait de plus en plus rare en France, Kornbrust ne pensait qu’à des camarades plus infortunés et fit parvenir aux professeurs et aux anciens élèves prisonniers de guerre de substantiels colis.
Ainsi, après avoir réussi à sauver l’essentiel du matériel et des archives malgré la guerre, après avoir maintenu le contact entre tous les camarades aux heures tragiques de l’expulsion et de la dispersion jusqu’au moment où toute la France fut occupée, Kornbrust tiendra encore à rendre à l’Association son corps et son âme, en faisant paraître à Metz, en juin 1946, le premier numéro de notre bulletin d’après-guerre. Ce n’est qu’après avoir réalisé une solide reconstitution de notre Amicale, en convoquant l’Assemblée Générale le 6 juillet 1946, que Kornbrust songea à rentrer dans le rang.

1946 : une nouvelle équipe

C’est alors qu’une nouvelle équipe, fraîche et dynamique, présidée par M. PFISTER Arthur (promotion 1925-1928), professeur à l’école normale, prendra les destinées de notre Association en main. Immédiatement, une souscription pour venir en aide aux veuves et aux orphelins de guerre est lancée. De sensibles améliorations sont apportées à notre bulletin trimestriel. La couverture, avec sa jolie photo de notre école, a retrouvé son visage d’avant-guerre. D’autre part, les normaliens sont régulièrement mis à contribution pour la rédaction de notre Bulletin.
Enfin, dès 1950, le nouveau Bureau organise une souscription pour l’apposition d’une plaque à la mémoire des" Anciens » victimes de la guerre 1939-1945. Lors de l’inauguration, le dimanche 4 mars 1951, le Président PFISTER dit dans son discours :
« Douze ans se sont écoulés depuis qu’une cérémonie semblable à celle-ci s’est déroulée pour l’inauguration d’une plaque à la mémoire de nos victimes de la Première Guerre Mondiale. Ces deux plaques disent que notre sacrifice a été lourd : les quarante-quatre noms qui figurent sur la deuxième (auxquels se sont ajoutés les noms de trois camarades tombés en Algérie et en Indochine) représentent près du dixième des instituteurs sortis de notre école entre les deux guerres. Si nos camarades pouvaient parler encore, ils diraient que ce qu’ils ont accepté doit être épargné aux survivants et aux jeunes qui montent et que rien ne doit être négligé pour faire régner la paix dans le monde. »

1952 : la relève

Et, en 1952, lors de l’Assemblée du 5 juillet, c’est M. BITTE Gabriel (promotion 1931-1934), également professeur à l’école normale, qui prend la relève. A cette occasion, il déclare :
« La relève de la petite équipe, à qui l’Assemblée Générale confie périodiquement la mission de veiller à la pérennité et à la prospérité de notre Association, est donc assurée. Les membres du Bureau ont accepté cette charge, parfois à leurs corps défendant, il est vrai, conscients de la noblesse et de l’utilité des buts recherchés par l’Association. »
Reprenant une idée chère à M. RUSTIN, Gabriel BITTE entreprend la publication d’un annuaire donnant tous les renseignements sur les anciens de toutes les promotions. Il lance aussi un appel relatif à la constitution d’un orchestre et d’une bibliothèque des anciens. C’est ainsi qu’une lettre circulaire adressée aux « Anciens Auteurs » invite ces derniers à faire parvenir à notre siège social un exemplaire dédicacé de chacune de leurs publications, travaux universitaires, monographies, thèses, etc.
Comme les années passées, le Bureau accorde des subventions à l’Association Sportive de l’Ecole Normale, à la Caisse de Voyages des Normaliens et fixe les prix accordés aux trois élèves les plus méritants. Il décide également d’offrir un poste de télévision à un camarade paralysé et lance encore une souscription en faveur d’une orpheline, fille d’un collègue.

1958 : un nouveau bureau

L’Assemblée du 5 juillet 1958 élit un nouveau Bureau et, lors de sa réunion du 27 septembre 1958, ce dernier choisit SCHNEIDER Louis (promotion 1930-1933) comme Président, le quatrième depuis la fondation de notre Association.
Bitte s’est donné de tout coeur à sa tâche, il a fait du bon travail. Schneider, plein d’allant, continuera de même.
C’est que notre Association n’est plus ce qu’elle était dans les années 1920 ou 1930 : elle compte déjà une cinquantaine de promotions et l’effectif de chacune a considérablement grossi. A cet accroissement numérique, s’ajoutent toutes sortes d’autres difficultés : le coût de la vie qui rend l’impression du Bulletin de plus en plus malaisée (Le Bureau doit proposer la réduction du nombre des numéros), les mutations de plus en plus fréquentes exigeant une constante mise à jour du fichier, l’organisation du Banquet de moins en moins commode à l’école normale.
Nous ne saurions trop rendre hommage à SCHNEIDER Louis pour tout le travail et le dévouement fournis au cours des trois années où il a présidé avec tant de bonheur aux destinées de notre Association.

1961 : Auguste GEORGE, président

C’est à son départ que le Bureau, réuni le 12 octobre 1961, me pressa d’accepter la charge de la présidence de notre Association.
L’adaptation du nouveau comité à sa tâche fut facilitée par le fait que, mis à part le président sortant, presque toute l’équipe restait en place. Les activités habituelles de notre Association furent donc assurées sans trop de difficultés, mais les problèmes posés par l’adaptation de notre Amicale à l’évolution combien rapide, de l’école normale actuelle, s’accentuèrent encore. Comment, en particulier, donner cet « esprit de promo », susciter ce lien amical entre tous les camarades d’une même promotion, alors que les normaliens d’une même année, beaucoup plus nombreux qu’autrefois, sont répartis en plusieurs classes, que nombre d’entre eux sont demi-pensionnaires ou même externés et qu’ils passent donc un temps de plus en plus réduit à l’école normale ?
Ce fait nouveau ne risque-t-il pas de provoquer une certaine désagrégation de notre Association si nous ne savons pas rapidement nous adapter à cette situation ? C’est cette préoccupation qui nous a conduits à nous joindre à nos jeunes camarades normaliens pour préparer et réaliser en commun ces retentissantes et agréables « Soirées des Ecoles Normales », résultat d’un travail prolongé et d’une collaboration efficace entre élèves maîtres, professeurs et anciens. C’est ainsi qu’en 1965, nous organisions, en plus de nos activités habituelles, la première « Soirée de Gala ", suivie de plusieurs autres en 1967 et en 1969. Voici d’ailleurs comment la presse relatait la dernière :
« Une fois de plus, la salle Europa s’est avérée par trop exiguë pour contenir tous ceux qui avaient choisi le Gala des Ecoles Normales pour se divertir. Anciens des écoles normales, en coopération avec les normaliens et les normaliennes d’aujourd’hui, avaient monté un spectacle éclectique, alerte, qui renouvela sans cesse l’intérêt de l’assistance. C’est ainsi que chants, danses, théâtre, gymnastique et ballets s’enchaînèrent à la plus grande satisfaction de la salle, avant que ne soit ouvert le bal qui clôtura cette agréable soirée. »
Donner plus de cohésion aux promotions, faciliter les contacts entre anciens élèves et normaliens et, par-là même, leur faire connaître notre Association, tels sont, outre l’agréable détente qu’elles procurent, les buts essentiels de ces manifestations. Un premier résultat ne tarda d’ailleurs pas à se faire sentir : la contribution plus importante des normaliens à la rédaction de notre Bulletin. Ils nous relatent ainsi, avec toute la fraîcheur de leur jeunesse et souvent avec beaucoup d’humour, tant leurs récents voyages d’études que leurs étonnants exploits sportifs de l’année. Mais, c’est aussi avec l’indispensable collaboration des anciens que notre Bulletin restera un organe de liaison bien vivant entre tous les camarades des différentes promotions,
Chaque année, également, notre traditionnelle Journée des Anciens continue à nous permettre de nous retremper dans l’atmosphère joyeuse et sympathique de notre Assemblée annuelle. Comment s’étonner qu’à cette occasion chacun retrouve l’enthousiasme et la fougue de ses vingt ans ! La présence de tant de camarades à ces Journées atteste, en même termes que leur attachement à l’école qui les a formés, la solide camaraderie née dans l’enthousiasme de leur jeunesse.
Telle était déjà l’intention des fondateurs de notre Association lorsqu’il y a près de cinquante ans, ils décidèrent de la créer, Ils ne s’étaient pas trompés, puisque nous essayons de marcher encore dans leurs traces aujourd’hui et de continuer l’oeuvre qu’ils ont si bien commencée.
« A tous ceux qui, à l’occasion du cent cinquantième anniversaires (en 1972) de nos écoles normales veulent donner à notre Association un regain d’activité, j’adresse ici un pressant appel de collaboration. Ensemble, au cours des années à venir, nous essaierons d’accroître encore et sa vitalité et son prestige. » Auguste George.

1989 : Serge DELATTRE

En décembre 1989, après le décès d’Auguste GEORGE, c’est notre ami Serge DELATTRE qui a repris en main les destinées de notre association en étant élu le 7e président depuis sa création en 1926. En 2002, il a su réaliser la fusion de notre association avec celle des anciennes élèves de l’école normale de Metz.

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